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Flowers &... Flowers !

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Flowers &... Flowers !
31 mars 2007

31/03/2007

Cher Journal,
puisque le samedi je n'ai pas cours la journée a été légèrement mieux. On a fait les brioches (une action pour l'église, mais l'argent je ne sais plus ou elle va.) et même que avec Carole on a été les premiers à avoir fini !! Bref... on a ressu un Prince chacun pour avoir fait sa (pas génial se paiment.)
Hélène, Sarah, Carole et Charlotte (à la dernière minutes), sont venues chez moi. On a regarder un super film d'horreur "Ils", elles criaient comme des tarés échapper de l'azile et mon pauvre Père a due suporter sa toute l'après midi ! Ensuite je ne les ai pas suivie au terrain de foot, détestant le foot en plus haut point je trouvais sa inutile de venir surtout que mon cher ordi m'attendais ! M'enfin bon... le reste de l'après midi ma servie pour regarder Le Chocolat.
Le soir, mes parents sont aller à un concert, et moi je restais seul. Mais après le film que j'ai vu... Hum Hum. Alors pour sa j'ai regarder Donnie Brasco sinon je crois que je serair ester dans mon pauvre lit avec la couette sur la tête. Nan, nan ! Je ne suis pas peureuse !! Donnie Brasco n'était peut-être pas le film le plus approprier mais bon... J'ai réussi à tenir jusqu'à ce que mes parents reviennent, il était vers les minuit, et je me suis coucher peut après...

Journée très ennuyeuse n'est-ce pas ? Surtout que je suis maladeuh.

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31 mars 2007

Milka

Pour continuer dans le chocolat voila les vidéos, toujours aussi charmantes, du chocolat Milka.
(La troisième PUB est vraiment trop mignonne !)

31 mars 2007

Le Chocolat

chocolat

Encore un film ou joue Johnny Depp. Je sais; mais j'aime beaucoup cet acteur qui est l'un des meilleurs du monde. Et pour continuer sur le chocolat, je trouve que ce film tombe très bien juste après Charlie et la Chocolaterie, vous ne trouvez pas ?

Le Chocolat... voila un beau film; film que j'ai beaucoup aimée. Un film qui donne envie de manger du chocolat et qui en même temps nous fait douter sur ses propriétés; d'après ce film, chaque chocolat aurais une particularité et Vianne, avec sa fille Anouk, se déplacent de ville en ville pour pouvoir aider les gens en devinant le chocolat qui leur convient. Cependant, et malheureusement, elle arrive dans cette petite et nouvelle ville le jour du carème; cela pose un problème car personne n'est sensé manger pendant cette semaine. Mais Vianne réussira à tout de même aider les gens malgré certaines personne qui lui coupe le passage. Puis, voila que des "Pirates" (sont nommés comme sa par Anouk) arrivent par la petite rivière qui longe le village. Roux (Johnny Depp) tombe amoureux de Vianne, Anouk l'aime beaucoup aussi. Mais son bâteau brule et il décide, pour une raison ou une autre et surtout du fait qu'il n'est pas trop aimer des autres, il décide donc de partir... Il va surement revenir, alors que Vianne éssaye de remettre de l'ordre dans cette petite ville...

Résumer quelque peu embrouillé, mais je n'ai pas réussi à faire mieux et je n'aime pas copier ce qu'il y a écris sur des sites. En tout cas c'est un film qui ma vraiment plus. Le seul hic c'est que Johnny Depp n'a pas sa voix habituel et je n'aime pas trop son air de "rebelle" et ses cheveux longs... Bref, film qui reste tout de même admirable.

31 mars 2007

Charlie et la Chocolaterie

Charlie

Mmm... quel film chocolatement superbe !

Avec un Johnny Depp au plus haut de sa forme en tant que Willy Wonka et un réalisateur génial tel que Tim Burton on ne peut que se réjouir et aimer ce film qui rogorge d'imagination. Tim Burton sais piocher ou il le faut; oui, n'oublions pas que ce film est tiré d'un livre ! Avez-vous déjà manger de l'herbe ou vue un Oompa Loompa, naviguer sur un bâteau de sucre ou utiliser un téléporteure ? Dans ce film vous pouvez voir tout ceci. Vraiment, même si vous détestez au plus haut point Johnny Depp (ce qui n'est pas mon cas) je vous conseille vivement de le voir même si ce film peut vous paraître trop... enfantin.

Certain disent que Johnny Depp n'est pas fait pour ce rôle...

D'autres pensent que la coupe de Willy Wonka est horrible...

Et d'autres... fantasme sur le Chocolat  WONKA !!!
--> Imaginer... le meilleur des chocolat, un chocolat qui fond uniquement dans la bouche. Ce chocolat, mélanger par une cascade, fourré du meilleur caramel et tout sa sortie de la tête de ce cher Willy Wonka, et malgré qu'il sois légèrement fou : on l'adore !

Loufoque, drôle et plein de morales, ce film est un chef d'oeuvre et pourtant...
je déteste l'affiche du film ! Elle est horribleuh !
Hum... Queq'chose à dire sur ce magnifique film ?

Sur ce superbe Johnny Depp ?

Sur ce... chocolat ?

Rien...

31 mars 2007

Chapitre 3

[3ème Chapitre... petit à petit on se rend compte qu'il y a du fantastique au delà des vieilleries.]

3


    Après un bon petit déjeuner, Caroline erra, comme d’habitude, près des serres espérant recueillir une quelconque information. Cette information arriva plutôt vite ; Mr. Jorin, comme tout les jours, travaillait dans une des nombreuses serres. Caroline alla doucement à sa rencontre, mais elle n’avait pas immédiatement remarquer que quelqu’un était avec lui, et était cacher par une grosse tulipe. Lorsqu’elle le remarqua, elle rentra dans la végétation et resta ainsi en les écoutants. D’ici, elle ne pouvais pas distinguer qui il était, mais d’après sa voix c’était un homme.
- Oui, c’est bien cela ! Il a trouver comment crée cette fameuse fleur, cette fleur sur laquelle travail Mr. Milleva presque jour et nuit. Il en deviens presque fou, et le fait que quelqu’un est trouver la recette avant lui n’arrange rien.
- Ne vous inquiétez pas Mr. Jorin, personne n’a jamais été rendu fou pour une si mince chose. répondit l’homme d’un ton indifférent.
- Une si mince chose vous dite ?! Mais c’est son avenir, l’avenir de sa famille ! Vous ne pouvez pas comprendre… laissez-moi travailler à présent. J’ai encore beaucoup de chose à faire, dont rempoter une tulipe carnivore. Merci de votre visite, je transmettrais vos hommages à Mr. Milleva quand le temps me le proposera.
Ils se saluèrent d’une poignée de main et l’inconnu s’en alla. Caroline en restait encore bouche bée, elle ne savait que penser de cette révélation qui rendait sa famille si triste. Mais pour elle cela restait tout de même qu’une fleur… et c’était une simple fleur qui, apparemment, allait gâcher sa vie ! Alors qu’elle essayait de retrouver son sens des convenances, Mr. Jorin s’en alla sans se rendre compte que quelqu’un avait écouté cette conversation. Et Caroline, elle, ne remarqua pas qu’elle était par mis les tulipes carnivores ! Elle sentis tout d’abords une drôle de douleur au niveau de la jambe droite, au mollet ; elle fronça les sourcils et regarda au dessus d’elle : une tulipe carnivore salivais à sa vue. La plante était sur le point de la croquer d’un seul coup de mâchoire lorsque quelqu’un la tira de cet embarras, elle tomba à terre et dû attendre quelques moments avant de retrouver ses esprits et de voir Charlotte Drima, une de ses plus intimes amie.
- Caroline ! A quoi pensiez-vous dans les tulipes carnivores ?!
- Charlotte ? Mais… que faite-vous ici ? demanda-t-elle en se relevant.
- Je voulais vous voir, et votre Mère m’a dit de chercher dans les serres pour vous trouver, cela fait une bonne heure que je vous cherche. Dieu soit loué, je vous ai trouvé à temps pour vous éviter d’être le Dîner de cette plante.
- Oh, merci ma chère amie ; je ne sais que penser après la révélation que je viens d’entendre… dit-elle en posant une main sur son front.
- Une révélation ? Quelle révélation ? Exprimez-vous Caroline.
- Ce que je vais vous dire ne sera peut-être rien pour vous, mais notre vie, d’après ce que j’ai entendue, en dépend…
Caroline s’empressa de raconter tout ce qu’elle avait entendu et même à dire sa douleur dans la jambe qu’elle avait reçu avant de se voir presque dans l’assiette d’une tulipe carnivore. D’ailleurs, en parlant de ceci, Caroline regarda sa jambe : elle saignais. Charlotte observa les alentours, elle ne semblait pas affecter par ce que venais de dire son amie à propos de cette mystérieuse fleur, elle semblait plus occupée par la blessure de son amie ; Charlotte conduisis donc Caroline vers un petit banc, qui était en tout point le même, ou presque, que dans toutes les autres serres. Entre plusieurs crissements de douleurs Caroline, et son amie qui la soutenais, arrivèrent au banc et se posèrent.
- Sûrement une tulipe carnivore. suggéra Caroline à la vue de l’empreinte que faisait la morsure.
- Sûrement… confirma son amie.
Caroline remarqua avec soulagement que la blessure n’était pas profonde, elle n’avait plus qu’à espérer que cette plante n’était pas venimeuse. Par précaution, Charlotte conduisit Caroline à la maison et un médecin fut appelé malgré que Caroline eu rejeter cette proposition. Mais comme elle l’avait pensée, le médecin ne pu rien faire de mieux que de mettre un bandage et de désinfecter la plaie avec ce qu’il avait. Il lui conseilla de rester couchée alors que sa Mère était d’hors et déjà aller chercher Mr. Milleva pour qu’il confirme que cette plante ne soit pas venimeuse.
    Charlotte s’en alla en même temps que le médecin, Caroline se trouvais seul dans sa chambre et y resta jusqu’à l’arriver de son Père. La plante n’était pas venimeuse, heureusement pour Caroline car Mr. Milleva avait mentionner qu’il avait une pante carnivore venimeuse qui, une fois avoir mordus sa proie, rendais la pauvre victime sourde, aveugle et insensible : tout ses sens lui étaient ôtés. Il demanda donc deux fois à Caroline dans quelle serre elle était allée et demanda aussi plusieurs détails bien précis sur cette fameuse plante. Rien ne portais à croire qu’elle était venimeuse.
    Le déjeuner de Caroline lui fut apporté au lit, tout comme le dîner. L’après midi avait été longue et ennuyeuse. Le soir, Caroline s’endormis plutôt tôt contrairement aux jours derniers.
    Le lendemain, la douleur à sa jambe c’était dissipé, mais ses parents l’obligèrent à rester au lit. Caroline passa encore une journée ennuyeuse à lire des bouquins sur les fleurs que lui avait apporter son Père le jour même en disant qu’elle devais profiter d’être malade pour lire des choses utiles. Mais Caroline n’en lu qu’un seul. Ce jour, elle s’endormit aussi très tôt.

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31 mars 2007

Moi

Cher journal, sais-tu au moin qui je suis ?

Et bien... je ne suis rien, rien du tout; comme tout le monde d'ailleur. Cependant, en tant que râleuse profetionnel, j'ai ma part de popularité. (On me connais surtout en tant que la "sans coeur" car je rejête tout les gars sur mon passage. Non mais ! Si quelqu'un dit que ce n'est pas normal il va voir !) Bref, ici Manon au bout du fil !

(Où plutôt au bout du câble, oui car vous savez sûrement comment fonctionne un Ordinateur ! Je suis gentiment entrain de taper avec mes petits doigts tout froid sur un clavier noir, sans fil, et dont seul les lettres et les chiffres sont écrits en blanc. Et malgré la couleur qui se dégrade à cause des nombreux passages de mes doigts, il est encore très facile de voir ses petites lettres qui vont donnés petit à petit des mots qui vous serons servi sur un plateau électronique fait de tout petits pixels qui donnerons finalement une image visible à notre oeil de, l'être misérable, que nous sommes...)

Conscience : Excuser la ! Elle a des moments d'orgueil comme tout le monde...
*ZBOUAFF - SCROUITCH - ZGRRZGRR* = *Tuer sauvagement par sa propriétaire.*

Je ne nie pas que cela fait du bien ! Bon, autant dire directement que je ne suis pas une grande écrivain, j'ai simplement commencer un Roman (et sa vous le savez.); mais il parais, par des sources plutôt sûres, que j'ai beaucoup d'imagination.

Conscience : HiHiHi...

La Conscience, ta gueule ! ... Ce qui est assez embêtant avec elle c'est qu'il est impossible de la tuer sans se tuer nous même. Saloperie que la vie, n'est-ce pas ? (Eloignons cette pensé loin, très loin de notre pensé car j'en aurais long à dire ! Mais qu'est-ce que le mot "pensé" à pars une simple penser des humains qui dérive par une pensé supposer pensé que la pensé est une chose inventer de la pensé des humains... Oui bon oublier ce que je viens de dire.)

... Ah oui, moi ! Alors, née sur Terre (comme tout le monde je crois, bien que...), dans un village, de campagne, du département situé très près du Pays dont les habitants sont des dérivés des Barbares blonds (non pas que je ne les aiment pas, mais l'Histoire dit que les Barbares sont finalement les Allemands...), j'ai du sang d'ailleurs de cette nationalité (Berlinoise pour être précis.); je ne nie pas que j'en ai un peu honte puisque je déteste cette langue. (Et voila comment on peut être dégoûter de quelque chose à cause d'une simple professeur...)

Mon âge est ((5x5)-11.5):3+9. (Hep ! A trouver sans Calculatrice, c'est plutôt simple ! 'tention je vous ai à l'oeil !) J'aime beaucoup la littérature, surtout les vieilleries; (Orgueil & Préjugés, ou encore Le Parfum.) mais je suis aussi une adepte du Fantastique ! (Peter Pan [Eh oui !], ou encore L'Histoire Sans Fin qui est un magnifique et énorme livre !) J'ai aussi une petite collection de Mangas chez moi, mais il y a trop peu à lire à mon goût... (Et c'est pourquoi je n'aime pas trop les BDs...) J'aime les RPGs ! Je suis complètement

*SCOUIC* de RPGs, et surtout de Forums RPGs ou je me fais une joie d'écrire des lustres de papier ! Oui m'enfin... façon de parler. J'en est d'ailleurs plusieurs à moi. A part sa j'aime beaucoup le Cinéma et j'essaye de réunir tout les Films (en DVDs) que j'aime ! (Mais je n'arrive pas à trouver ce foutu "Fenêtre Secrète" ! Sa me met en rogne !) Ah oui... Vive Johnny Depp ! *Se sens, à présent, bête et gênée de l'aimer beaucoup comme toutes les autres...*

Bon, assez parler. Maintenant c'est à vous de dire ce que bon vous semble sur cette... *Regarde* Hum... Moyennement longue présentation ! Oh ! Encore une chose ! Je suis...  :chut:  Une FILLE ! Et plus que fier de l'être !

Ciao ! (Ou plutôt... au plaisir de bientôt vous revoir mes amis !)

30 mars 2007

Mon Journal

Partie 'Mon Journal' ajouter un peu contre ma volonté car je n'aime pas trop raconter ce que je fait de mes misérables journées au collège... mais râleuse comme je suis cela va surement être marrant ! Et c'est partie pour vous raconter mon ennuyeuse vie !

30 mars 2007

A quoi sa sert ?

Mmm... étant une cinophile, je ne pouvais pas ne pas parler de films. Et bien que le temps me manque beaucoup, beaucoup et re-beaucoup je vais tout de même vous parler de tout ce que j'ai vu. Il y aurra surtout des films bizarroïdes (Charlie et la Chocolaterie, Edward aux Mains d'argent...) ou historique (Kingdome of Heaven, Le Roi Arthur...). Il y aurra aussi quelques sondages et puis... bonne visite !

30 mars 2007

Chapitre 2

[Dans ce chapitre on commence à ce rendre compte du caractère solide de l'héroïne, Caroline. Chapitre beaucoup plus long et que j'aime beaucoup.]

2

 

    Le lendemain matin, alors que son Père était déjà depuis un bon moment dans les serres, Caroline se rendit compte qu’elle c’était endormis alors qu’elle lisait. Elle se leva, vite ; s’habilla et se débarbouilla vivement pour pouvoir descendre dans le salon. Elle y trouva, comme prévus, sa Mère entrain de faire du crochet assise dans une chaise à bascule. Mme. Milleva fut vite alertée que quelqu’un venais, chaque pas que faisait Caroline engendrait de multiples crissements.
    Caroline arriva à la porte du salon, elle était ouverte ; et dors et déjà elle pouvait voir le lourd regard de sa Mère vers elle. Elle épousta sa robe et remis ses cheveux bien en place avant de se diriger vers un petit canapé se trouvant près de la chaise à bascule ou sa Mère faisait du crochet comme si rien ne c’était passer la veille.
- Mère, que c’est-il passé hier au soir, lorsque Mr. Jorin est venu si rapidement ? demanda Caroline. Je n’est pas réussi à dormir de toute la nuit à cause de se chamboulement. avoua-t-elle en prenant un air grave.
- Ma chère fille, commença sa Mère en posant son œuvre sur une petite table, votre Père m’a malheureusement interdit de vous dire quoi que se sois.
Caroline baissa la tête, elle aurait espérée un peu plus de compassion de la part de sa propre Mère. Mais bientôt, Mme. Milleva, épris d’un sentiment de tristesse, posa sa main sur l’épaule de sa fille et lui murmura :
- Mais rien ne t’empêche de trouver la vérité par toi-même.
Ses mots dit, Mme. Milleva repris son crochet alors que Caroline semblait plutôt heureuse. « La je te reconnais Maman ! » pensa-t-elle avant de l’embrasser en lui murmurant un petit « merci » tout en se dirigeant vers la sortie.
    Une fois dehors, elle retrouva son père après plusieurs minutes de recherche par mis toutes ses plantes multicolores aux parfums somptueusement délicieux. Elle le trouva dans une serre ou seul des roses étaient traitées et bichonnées, il y en avait de toutes les couleurs mais aussi de toutes les formes, aussi bien qu’il était difficile de reconnaître certaines de ses plantes comme étant des roses. Un bon parfum flottait, comme dans toutes les serres ; mais le parfum était à chaque fois différent. Ici, dès que l’on s’approchait d’une plante, il y avait une autre odeur ; mais cette odeur était, et on le sentait bien, un dérivé de la vraie senteur de la rose. Mr. Milleva méditait, assis sur une sorte de banc rouillé, la tête dans les mains. Il semblait désespérer. Aussitôt, Caroline se mordit la lèvre et resta tapis derrière un spécimen de rose géante. Elle resta ainsi pendant un bon moment, espérant que son Père laisse échappée quelques paroles : mais rien de tout ceci ne se produisis. Si bien que Caroline se demandait si son Père n’était pas endormis. Pour en être certaine elle se leva doucement et marcha sur la pointe des pieds jusqu’au petit banc rouillé ou semblait dormir Mr. Milleva.
- Papa ? demanda Caroline doucement.
Mais voyant que rien ne se passait, elle l’appela une seconde fois, d’un ton plus fort. Toujours rien. Caroline commençait sérieusement à s’inquiéter, elle attrapa les épaules de son Père et commença à le secouer en l’appelant. Dans un grand soulagement, et pourtant dans un sursaut qui la fit tomber à terre, son Père se réveilla en poussant un petit cri de stupeur. - Père ! Vous m’avez fait peur ! dit-elle en se relevant.
- Oh, Caroline ! Mon enfant, ne réveillez jamais plus votre Père de la sorte. dit-il ironiquement avec la voix encore branlante.
- Mais, je m’inquiétais de vous voir inanimé comme cela.
- Votre Père manque de sommeil ses temps si, mon travail me retient beaucoup comme vous pouvez le voir. avoua-t-il en levant les yeux vers la rose géante.
Caroline ne savait que dire, elle savait très bien que son Père était totalement épris par son travail, et maintenant plus encore. Elle baissa la tête. Elle pouvais à présent être sur de ne plus pouvoir soutirer d’informations aujourd’hui, et pourtant elle devait retenir sa curiosité et fourré sa langue bien dans sa bouche pour ne pas parler de ce qui c’était passer hier qu’elle ne savait pas.
- Caroline ? Qu’y a-t-il mon enfant ? demanda son Père questionné par son chagrin visible.
Caroline dû se forcer de sourire un peu, puis alla s’asseoir à coter de son Père.
- Père, il faut que vous reposiez. Vous me faite beaucoup de peine. Vous voir comme sa est un vrai supplice, cela me rend triste… dit-elle en rebaissant la tête.
- Voyons ! Ne t’inquiète pas comme sa ! Tu réfléchis trop Caroline, je sais très bien que tu as un très bon morale. Et n’oublie pas que ce travail, les serres et toutes les plantes seront un jour à toi. Pour l’instant je fais de mon mieux pour assurer ton avenir. dit-il en lui caressant amicalement la joux.
Caroline ne pus s’empêcher de lui lancer un grand sourire, tout sa elle le savais déjà mais pour elle se n’était pas une raison pour ne pas dormir et travailler sans relâche. Elle espérait ne pas être comme son Père lorsqu’elle reprendra toutes ses serres à sa mort. Mr. Milleva serra sa fille contre lui avant de lui demander de bien vouloir le laisser seul. Caroline obéit et sortie de la serre des roses pour parcourir les alentours de la maison en réfléchissant à beaucoup de choses.
    Alors qu’elle traversait les jardins qui faisaient la célébrité des environs, elle aperçut Mr. Jorin se diriger vers les serres. Sa curiosité fit entraîner Caroline à sa poursuite, mais lorsqu’elle contourna un gros buisson en forme de cheval elle avait perdue sa trace. Indigné de n’avoir pu le suivre, elle rentra à la maison et passa le reste de la journée dans le salon, à lire, auprès de sa Mère qui faisait toujours du crochet. Elles ne se parlèrent pas jusqu’à ce que le Dîner fût presque servi.
- Mère, ne pensez-vous donc rien sur l’attitude de Papa ? Il est beaucoup trop accroché à son travail, cela va finir par le ruiner ! commença Caroline.
- Caroline… Votre Père aime son travail, c’est toute sa vie, toute notre vie. Laissez le faire, il sais mieux que qui conque ce qu’il fait. Mais vois-tu, il est vrai que parfois j’aimerais qu’il pense un peu plus à moi et qu’il passe plus de temps avec nous deux. Mais il faut comprendre qu’il fait ce qu’il y a de mieux pour nous.
Ce qu’avait dit Mme. Milleva laissa Caroline sans réponse à divulguer. Anxieuse et hésitante, elle reposa ses yeux sur le livre qu’elle était entrain de lire. Mais cela commença comme la veille, à force de réfléchir elle ne pouvais comprendre ce qu’il y avait d’écris sur les pages. Le silence qui avait été si imposant tout l’après-midi refit surface jusqu’à ce que le Dîner fût annoncé.
    Mr. Milleva manqua à l’appel du Dîner ; Mme. Milleva demanda donc à Mlle. Morrice de bien vouloir prendre des nouvelles de ce dernier, elle revint ici avec aucune nouvelle ; elle avait simplement dit qu’elle ne l’avait pas trouver, mais elle avait chercher que dans les serres au alentour de la maison alors qu’il aurais bien pu être dans le petit bois d’à coter ou encore dans toutes les autres serres qui étaient trop nombreuses pour pouvoir être visitées en une seul soirée. Elles durent donc se passer de lui, mais l’ambiance était toujours aussi monotone à tel point que Caroline sortie vite de table afin de se réfugier dans sa chambre pour pouvoir lire jusqu’à point d’heur.

28 mars 2007

Chapitre 1

[Petit, et qui ne me satisfait pas... Surement plein de fautes, comme tout les autres d'ailleurs. Mais ce n'est que le premier jet.]

1


Le Dîner fut sonné alors que Caroline s’essayait au piano de son Père ; elle dû donc arrêter pour ce diriger vers la salle à manger où siégeaient déjà ses parents, tout était déjà servie et Caroline s’assit à sa place habituelle avec hâte. Elle remarqua presque instantanément, en levant les yeux vers ses parents, qu’ils n’étaient pas aussi joyeux qu’à l’habitude. Le Dîner allais être long, un silence monstrueusement gênant s’installa aussitôt. Caroline se concentra sur ce qu’elle avait dans son assiette et resta ainsi fixé sur les aliments presque tout le long du Dîner.
    Caroline Milleva est fille unique, une jeune fille pleine de bon sens, jolie, et très apprécier de tout le monde. Sa Mère, Elisabeth Milleva, était très fier d’elle ; mais il faut dire que sa fille tenait beaucoup d’elle, Elisabeth avait les même yeux bleu saphir et la même beauté, bien qu’à présent elle se sois presque envoler par la vieillesse. Son Père, Charles Milleva, est très intelligent, mais beaucoup trop absorbé par son travail de fleuriste ; en effet, il est le grand maître des fleurs. Son intelligence lui sers à comprendre les plantes et à crée de nouvelles sortent toutes aussi magnifiques les unes que les autres. Mais aujourd’hui arriva une nouvelle que personne n’aurait voulu entendre, et même jamais y penser. Cependant, Mr. Milleva y pensais souvent et c’est ce qui le rendais encore plus acharner sur son travail.
    Le Dîner était presque fini, mais Caroline avait encore son assiette quasiment pleine ; son cerveau travaillait à chercher la raison du manque d’enthousiasme de sa famille, avec sa fourchette elle soulevait les aliments sans les apporter à sa bouche. Alors qu’elle piquait un brocoli, la porte s’ouvrit laissant passer un grand courant d’air qui la fit sursauter. Elle leva les yeux et pus apercevoir Mr. Jorin ; un des employer de son Père. Il avait la respiration haletante, le souffle presque couper. Caroline comprenais pourquoi : il avait dû traverser les innombrables jardins en courant pour pouvoir arriver ici. Caroline fronça les sourcils. Pendant que son Père lui demandais ce qu’il faisait la, Mme. Milleva se tourna vivement vers sa fille avec un sourire.
- Caroline, mon enfant. Ne m’as-tu pas dit que tu avais un livre que tu voulais absolument finir ? Je vois que tu n’as pas faim, je t’autorise donc à sortir de table.
Mme. Milleva resta ainsi fixé sur sa fille jusqu'à ce qu’elle sorte de la salle à manger. Caroline avait immédiatement compris qu’elle voulait simplement se débarrasser d’elle ; et maintenant elle savait que ce qui faisait la monotonie dans sa famille était dû à un problème dans le travail de son Père. Tout en montant dans sa chambre elle espérais de tout cœur que cela n’était pas si grave qu’elle aurais pu le penser.
    Coucher sur son lit, un livre en main, elle réfléchissait beaucoup trop ; il était donc quasiment impossible à elle de comprendre ce qu’elle lisais, mais elle estimait que sa vie était plus importante qu’un livre. Elle n’entendis aucun mouvement en bas même jusqu'à tard dans la nuit. Et ce ne fut qu’à 11H qu’elle réussi à s’endormir. Elle ne pensa plus à ce qui pourrais se passer le lendemain, son sommeil était trop empli de rêves bizarres.

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